Parce que gouverner sa vie sans influence externe indue est un droit, permettre à chaque personne souffrant de troubles psychiques sévères et/ou en situation de handicap de conserver son libre-arbitre est une priorité voire un devoir pour les acteurs intervenant dans les secteurs du sanitaire, du social et du médico-social.
L’autodétermination apparaît donc comme incontournable et va de pair avec le case-management, moyen de garantir un accompagnement personnalisé, stimulant et motivant, adapté à l’état de santé et d’autonomie de chaque personne.