Emmanuelle retourne dans la maison de son enfance le temps d’un week-end avec son amoureux pour l’anniversaire de sa mère. Elle y retrouve Nathalie, une jeune femme intense à qui la schizophrénie n’a pas permis de quitter la maison maternelle et dont les troubles ont longtemps reposé sur les épaules de la petite sœur Emmanuelle. D'élans d’amour en épuisement, en passant par l’évitement, la colère et la jalousie, la réalisatrice Audrey Estrougo s’inspire de son vécu pour ce film puissant que l’Unafam a choisi de soutenir, entre la fresque et le huis-clos : “La maladie est le rongeur qui a bouffé tous les câbles : on passe du court-circuit à plus de courant du tout. Chacun vit la maladie avec ce qu’il est, mais tout seul.” A voir en salles à partir du 6 avril. En savoir plus
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